Dans le cadre de l’exposition « Sédiment : les archives comme base fragmentaire » curatée par Denise Ryner à la Galerie Léonard et Bina Ellen / Université de Concordia à Montréal, j’ai eu le plaisir de proposer cette conférence en ligne – nouvelle étape d’une recherche en cours – et de la poursuivre sous la forme d’une conversation avec l’écrivaine, artiste et professeure d’origine haïtienne Stéphane Martelly.
Nous y discutons la nature paradoxale, les ruses et les possibles adresses de l’archive noire diasporique et comment elle résiste secrètement et fait signe vers des lieux d’alliance et de savoir. Archive et tradition deviennent alors des répétitions affectées, toujours différentes, qui traversent et agitent des corps en trouble.
